Les dynamiques de transmission dans les dispositifs de formation
Le cas des jeunes sans emploi et sans formation
Un article paru dans le dernier numéro de l’éducation permanente écrit par Gilles Leclercq (Laboratoire Cirel Lille 1) et Nacira Ait Abdelsselam(Laboratoire Cirel Lille 1) sur la base d’entretiens avec Pascal Chaumette (Id6) et Amélie Metaldi.(Id6).
Une recherche financée par la région Nord-Pas de Calais, avant qu’elle ne s’appelle « Hauts-de-France », est à l’origine de cette contribution. Dans la réponse à l’appel à candidature qui a précédé son acceptation et sa mise en oeuvre, on pouvait lire que « le volet recherche, porté par l’équipe Trigone du laboratoire CIREL, s’articule au projet général Ludo Ergo Sum (SkillPass), porté par Id6 ». Trois actants donc : un laboratoire de recherche, un projet et une association.
Entre janvier 2015 et juin 2016, deux chercheurs ont mené une série de cinq entretiens avec deux responsables de l’association. C’est à cette occasion qu’est née l’idée de cet article. Après avoir rendu compte de l’activité d’ingénierie de formation développée par l’association, une deuxième partie mobilisera une approche dispositive et canalisera les préoccupations de recherche, avant que soit interrogée l’activité de « transmission » : quels actes, quelles dispositions, quels agencements, ce terme commun recouvre-t-il ? (Pour lire l’article cliquer sur la vignette)
GILLES LECLERCQ, professeur à l’université de Lille 1, membre du Centre interuniversitaire de recherche en éducation de Lille (CIREL-Trigone).
NACIRA ABDELSSELAM, maître de conférences à l’université de Lille 1, membre du Centre interuniversitaire de recherche en éducation de Lille (CIREL-Trigone).
PASCAL CHAUMETTE, directeur d’ID6.
AMÉLIE METALDI, chargée de mission à ID6.